Les Kokusyoku Sumire dans le journal "Le Monde"


Voici un extrait de l'article du journal Le Monde, il parle du passage des Sumire au Printemps de Bourges en avril 2009.

Sur le programme du Printemps de Bourges, pour la journée du mercredi 22 avril, trois noms sont suivis d'un rond rouge : le signe de l'opération "Made In Japan". C'est la première fois que le festival invite un pays en nombre sous une même étiquette. Onze groupes sont ainsi programmés du 22 au 25 avril. La plupart ne sont jamais venus en France, voire en Europe.
Musique traditionnelle ou rock extrême, pop ou électro, fantaisie ou sérieux, la carte de la scène japonaise proposée par les programmateurs du Printemps de Bourges (Christophe "Doudou"Jean-Michel Dupas, Thierry Langlois et Sonia Bester), avec l'aide de Stéphane Hervé de Red Tracks Music, est plutôt complète et suscite un intérêt a priori. Davy,
Mercredi 22 avril, c'est au duo Kokusyoku Sumire, qu'il revient d'inaugurer ce programme. Yuka, chanteuse (soprano) pianiste et accordéoniste et Sachi, violoniste, arrivent sur la scène du Phénix, en ouverture de Zaza Fournier, elle-même passant avant Bénabar. Le duo est généralement présenté comme appartenant au courant Lolita, ces jeunes filles ou jeunes femmes aux atours et attitudes de poupées.
Yuka et Sachi portent une perruque façon Marie-Antoinette, un haut et une robe arrondie tout aussi Grand siècle et des collants à rayures. Techniquement c'est l'école japonaise de l'excellence, pour la voix et le violon – le piano est plus basique. Chant façon comptine, emprunts à la musique classique, virée vers les musiques de l'Est, le tout avec ces intervalles mélodiques assez serrés propres aux musiques traditionnelles japonaises et qui font toujours un peu bizarre pour l'oreille occidentale élevée au clavier bien tempéré. C'est assez bien mené, plutôt rigolo, un peu monotone dans les compositions.
Le reste de l'article se trouve ici.

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